« Un petit garçon » ou la traduction d’un amour infini

SpectaclesPas de commentaire

Vous êtes ici :« Un petit garçon » ou la traduction d’un amour infini

« Nous avons tous en nous une part d’enfance qui nous complète et nous guide toute notre vie. Elle nous permet tout simplement de nous construire. Elie Pressmann nous dépeint, à travers ce spectacle, mis en scène à l’Essaïon par Catherine Hubeau, cette part de lui-même qui l’a aidé à traverser la guerre avec un réalisme fulgurant.

Cette autobiographie superbement racontée à travers les yeux d’un petit garçon juif qui traverse la guerre est sensible et émouvante. Son récit est posé, descriptif et loin de tout pathos. Mais on ne s’y trompe pas, le sous-texte foisonne d’émotions. On les ressent entre les lignes. Sa famille qui se cache, éclatée laisse ce petit garçon orphelin de sa mère. Une mère, qui bien que déportée, aura réussi à sauver sa grande fille. Ce récit est un bel hommage envers cette mère courageuse dont l’absence envahissante le rongera toute sa vie. Un amour infini qui l’enveloppera toute son existence. »

Retrouvez cette critique dans son intégralité sur Théâtres.com

À propos de l'auteur

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Haut