Cette réunion s’est tenue le samedi 1/12/2019, de 10 h 30 à 16 h 15, salle 308, université Panthéon-Assas, 92 rue d’Assas à Paris.
Le matin,
- le Président de l’AEC, Pierre de Lauzun, s’est félicité du nombre et de la qualité des contributions reçues pour la réunion du jour ;
- le trésorier, Didier Maréchal, a indiqué avoir reçu une vingtaine de cotisations pour 2019, ne pas faire de relances individuelles et souhaiter un paiement des cotisations par virement, qui facilite sa tâche ;
- Pierre de Lauzun a dit envisager notre prochaine réunion, avec AG, au printemps (juin ?) 2020 ;
- informations et avis ont été échangés sur la publication des textes issus de la conférence Turkson (“Œconomicae et pecuniariae quaestiones”), qui pourrait se faire via AMAZON ou uniquement sur notre blogue ;
- informations et avis ont été échangés sur la possibilité d’organiser une réunion publique avec une autre association, comme Amitié-Politique (qui s’est rapprochée du PCD et est désormais présidée, après la démission de François de Lacoste-Lareymondie, par Guillaume Bernard, enseignant à l’ICES), les EDC ou PRO-PERSONA. L’appui de Mgr Éric de Moulins-Beaufort, un colloque pourrait être organisé à Saint-Pierre-du-Gros-Caillou, à Paris ou à Reims.
À partir de 11 h 10, nous avons pu entendre successivement les présentations de
- Jean-Yves Naudet : Les pistes ouvertes par la doctrine sociale de l’Église (19′) ;
- Étienne Chaumeton : Pauvreté inégalités et redistribution (17′) ;
- Pierre Coulange : Corps intermédiaires (18′) ;
- François Schwerer : corps intermédiaires et communautarismes (16′).
Puis un échange entre l’auditoire et les intervenants s’est instauré pendant près de 45′, notamment sur les thèmes
- de la contrainte (justifiée ou non) exercée par l’État,
- du lien entre la sécularisation et la substitution de l’État à l’Église,
- de la notion d’inégalité (à remplacer par celle d’écart ?), assimilée à de l’injustice,
- de la famille et autres corps intermédiaires,
- de la sacralisation de l’État, concomitante avec une coupure d’avec Dieu,
- de la collaboration de l’Église avec l’État.
Le déjeuner dans un restaurant voisin, le Guynemer, a duré plus longtemps que prévu. À ce sujet, le serveur (patron ?) nous a conseillé, pour la prochaine fois, de convenir d’une formule pour tous avec la brasserie, ce qui permettrait de réduire le coût (25 € / personne) et le temps de service. D’autres restaurants mieux notés par TRIP-ADVISOR sont également disponibles à 200 mètres.
À 15 heures, 3 nouveaux intervenants se sont succédé :
- Thierry Jallas : L’État est-il DSÉ-compatible ? (15′) ;
- Jacques Bichot : La politique familiale, un investissement (12′) ;
- François Facchini : Les retraites (15′).
- le conflit entre notre conscience et la contrainte exercée par l’État,
- la (non-)corrélation entre niveau d’éducation et croissance.