30/11/2019 : “État et libertés face aux fractures sociales” réunion interne

Le matin, le Président de l’AEC, Pierre de Lauzun, s’est félicité du nombre et de la qualité des contributions reçues pour la réunion du jour ; le trésorier, Didier Maréchal, a indiqué avoir reçu une vingtaine de cotisations pour 2019, ne pas faire de relances individuelles et souhaiter un paiement des cotisations par virement, qui facilite sa tâche ; Pierre de Lauzun a dit envisager notre prochaine réunion, avec AG, au printemps (juin ?) 2020 ; informations et avis ont été échangés sur la publication des textes issus de la conférence Turkson (“Œconomicae et pecuniariae quaestiones”), qui pourrait se faire via AMAZON ou uniquement sur notre blogue ; informations et avis ont été échangés sur la possibilité d’organiser une réunion publique avec une autre association, comme Amitié-Politique (qui s’est rapprochée du PCD et est désormais présidée, après la démission de François de Lacoste-Lareymondie, par Guillaume Bernard, enseignant à l’ICES), les EDC ou PRO-PERSONA. L’appui de Mgr Éric de Moulins-Beaufort, un colloque pourrait être organisé à Saint-Pierre-du-Gros-Caillou, à Paris ou à Reims. À partir de 11 h 10, nous avons pu entendre successivement les présentations de Jean-Yves Naudet : Les pistes ouvertes par la doctrine sociale de l’Église (19′) ; Étienne Chaumeton : Pauvreté inégalités et redistribution (17′) ; Pierre Coulange : Corps intermédiaires (18′) ; François Schwerer : corps intermédiaires et communautarismes (16′).   Puis un échange entre l’auditoire et les intervenants s’est instauré pendant près de 45′, notamment sur les thèmes de la contrainte (justifiée ou non) exercée par l’État, du lien entre la sécularisation et la substitution de l’État à l’Église, de la notion d’inégalité (à remplacer par celle d’écart ?), assimilée à de l’injustice, de la famille et autres corps intermédiaires, de la sacralisation de l’État, concomitante avec une coupure d’avec Dieu, de la collaboration de l’Église avec l’État. Le déjeuner dans un restaurant voisin, le Guynemer, a duré plus longtemps que prévu. À ce sujet, le serveur (patron ?) nous a conseillé, pour la prochaine fois, de convenir d’une formule pour tous avec la brasserie, ce qui permettrait de réduire le coût (25 € / personne) et le temps de service. D’autres restaurants mieux notés par TRIP-ADVISOR sont également disponibles à 200 mètres.             À 15 heures, 3 nouveaux intervenants se sont succédé : Thierry Jallas : L’État est-il DSÉ-compatible ? (15′) ; Jacques Bichot : La politique familiale, un investissement (12′) ; François Facchini : Les retraites (15′). Nous n’avons pas entendu les présentations de Bernard Largillier (La rupture dans le mode d’intervention sociale), qui était retenu ailleurs, et de Christian Pradeau (L’agriculture, un secteur vital, révélateur des dons reçus et de nos mauvaises conduites), auquel nous avons demandé qu’il envoie son texte pour que nous puissions le lire avant qu’il nous en parle. Le débat qui a suivi, à partir de 15 h 45, s’est prolongé un peu au-delà de l’heure initialement prévue (16 h). Il a porté, notamment, sur le conflit entre notre conscience et la contrainte exercée par l’État, la (non-)corrélation entre niveau d’éducation et croissance. 17 personnes ont participé à la réunion : Jacques Bichot, Denis Chaigne, Étienne Chaumeton, Pierre Coulange, François Facchini, Thierry Jallas, Pierre de Lauzun, Jean-Didier Lecaillon, Gabriel de Longeaux, Hervé Magnouloux, Didier Maréchal, Daniel Michel, Jean-Yves Naudet, Stanislas Ordody, Christian Pradeau, François Schwerer, Xavier de Yturbe. Les articles seront diffusés sur le blogue de l’AEC, sous réserve d’accord préalable des auteurs.

30/11/2019 : “État et libertés face aux fractures sociales” réunion interne

Cette réunion s’est tenue le samedi 1/12/2019, de 10 h 30 à 16 h 15, salle 308, université Panthéon-Assas, 92 rue d’Assas à Paris. Le matin, le Président de l’AEC, Pierre de Lauzun, s’est félicité du nombre et de la qualité des contributions reçues pour la réunion du jour ; le trésorier, Didier Maréchal, a indiqué avoir reçu une vingtaine de cotisations pour 2019, ne pas faire de relances individuelles et souhaiter un paiement des cotisations par virement, qui facilite sa tâche ; Pierre de Lauzun a dit envisager notre prochaine réunion, avec AG, au printemps (juin ?) 2020 ; informations et avis ont été échangés sur la publication des textes issus de la conférence Turkson (“Œconomicae et pecuniariae quaestiones”), qui pourrait se faire via AMAZON ou uniquement sur notre blogue ; informations et avis ont été échangés sur la possibilité d’organiser une réunion publique avec une autre association, comme Amitié-Politique (qui s’est rapprochée du PCD et est désormais présidée, après la démission de François de Lacoste-Lareymondie, par Guillaume Bernard, enseignant à l’ICES), les EDC ou PRO-PERSONA. L’appui de Mgr Éric de Moulins-Beaufort, un colloque pourrait être organisé à Saint-Pierre-du-Gros-Caillou, à Paris ou à Reims. À partir de 11 h 10, nous avons pu entendre successivement les présentations de Jean-Yves Naudet : Les pistes ouvertes par la doctrine sociale de l’Église (19′) ; Étienne Chaumeton : Pauvreté inégalités et redistribution (17′) ; Pierre Coulange : Corps intermédiaires (18′) ; François Schwerer : corps intermédiaires et communautarismes (16′). Puis un échange entre l’auditoire et les intervenants s’est instauré pendant près de 45′, notamment sur les thèmes de la contrainte (justifiée ou non) exercée par l’État, du lien entre la sécularisation et la substitution de l’État à l’Église, de la notion d’inégalité (à remplacer par celle d’écart ?), assimilée à de l’injustice, de la famille et autres corps intermédiaires, de la sacralisation de l’État, concomitante avec une coupure d’avec Dieu, de la collaboration de l’Église avec l’État. Le déjeuner dans un restaurant voisin, le Guynemer, a duré plus longtemps que prévu. À ce sujet, le serveur (patron ?) nous a conseillé, pour la prochaine fois, de convenir d’une formule pour tous avec la brasserie, ce qui permettrait de réduire le coût (25 € / personne) et le temps de service. D’autres restaurants mieux notés par TRIP-ADVISOR sont également disponibles à 200 mètres. À 15 heures, 3 nouveaux intervenants se sont succédé : Thierry Jallas : L’État est-il DSÉ-compatible ? (15′) ; Jacques Bichot : La politique familiale, un investissement (12′) ; François Facchini : Les retraites (15′). Nous n’avons pas entendu les présentations de Bernard Largillier (La rupture dans le mode d’intervention sociale), qui était retenu ailleurs, et de Christian Pradeau (L’agriculture, un secteur vital, révélateur des dons reçus et de nos mauvaises conduites), auquel nous avons demandé qu’il envoie son texte pour que nous puissions le lire avant qu’il nous en parle. Le débat qui a suivi, à partir de 15 h 45, s’est prolongé un peu au-delà de l’heure initialement prévue (16 h). Il a porté, notamment, sur le conflit entre notre conscience et la contrainte exercée par l’État, la (non-)corrélation entre niveau d’éducation et croissance. 17 personnes ont participé à la réunion : Jacques Bichot, Denis Chaigne, Étienne Chaumeton, Pierre Coulange, François Facchini, Thierry Jallas, Pierre de Lauzun, Jean-Didier Lecaillon, Gabriel de Longeaux, Hervé Magnouloux, Didier Maréchal, Daniel Michel, Jean-Yves Naudet, Stanislas Ordody, Christian Pradeau, François Schwerer, Xavier de Yturbe. Les articles seront diffusés sur le blogue de l’AEC, sous réserve d’accord préalable des auteurs.

1/12/2018 : “Œconomicae et pecuniariae quaestiones”

Cette réunion s’est tenue le samedi 1/12/2018, de 10 h à 16 h 30, salle 505, université Panthéon-Assas, 92 rue d’Assas à Paris. Le matin, notre Président Pierre de Lauzun nous a parlé d’une réunion qu’il essaie d’organiser avec d’autres mouvements d’Église, vers novembre 2019, au cours de laquelle interviendrait le cardinal Turkson, préfet du dicastère pour le service du développement intégral. Ensuite, nous avons pu entendre successivement les présentations de – Pierre de Lauzun : “Les marchés financiers dans Œconomicae et pecuniariae quaestiones” (lien vers son texte), – Jean-Yves Naudet : “Fiscalité et dette publique dans Œconomicae et pecuniariae quaestiones” (lien vers son texte), – Jacques Garello L’après-midi, après un déjeuner très agréable pris dans un restaurant voisin, les intervenants suivants ont pu s’exprimer, dans cet ordre : – Guido Hülsmann “L’interventionnisme monétaire dans la Doctrine sociale de l’Église”. – Bernard Largillier “Évangélisation et développement économique” (lien vers sa présentation Word ; lien vers sa présentation pdf). – Stanislas Ordody “Proposition : le financement 4P” (lien vers sa présentation pdf; lien vers sa présentation PowerPoint). Après chaque intervention, des échanges très intéressants et animés ont eu lieu. Un enregistrement vidéo des présentations a été fait. Peut-être pourrons-nous le mettre en ligne ultérieurement, pour celles dont l’auteur a donné son accord, et sous réserve que nous aurons pu améliorer la très médiocre qualité du son. Deux autres exposés au moins avaient été prévus, mais leurs auteurs n’ont pas pu être présents : – Laurent Barthélemy sur “La financiarisation et ses dérives, dans Œconomicae et pecunairiae quaestiones”. – Jacques Bichot sur “Monnaie, crédit et la finance pour l’organisation de la vie en société”.