Les résultats ne peuvent être considérés comme statistiquement significatifs du fait du faible nombre de SN 13 testés (5 unités).
Il faut les considérer comme indicatifs.
Expérimentation du SN 13 – 5 unités
|Modalités : Tensions (en grammes)|moyenne|écart max|
|{{Charge de rupture du fil d’acier}}| 4 500|200|
|{{Charge de dessertissage}}| | |
|[vert fonce]Ardillon en Y[/vert fonce]| | |
|[bleu]Y vertical[/bleu]l| | | |
| 4 dessertissages|3 400 |500 |
| 1 rupture ({{§}})| 4 600 | – |
|[bleu]Y horizontal[/bleu] | | |
| 5 ruptures| 3 150 | 100|
| | |
| [vert fonce]Plomb écrasé[/vert fonce] | 2 950| 800 |
({{§}})
Dans l’expérience de dessertissage de l’ardillon en « Y » vertical, nous avons observé, contre toute attente, non pas un dessertissage de l’ « Y », mais une rupture du fil à la base de l’ « Y » dans un cas, pour une traction très supérieure à la moyenne de dessertissage précédemment observée
L’évolution qualitative et quantitative de la préparation SN 13 / Tendon se fait suivant les modalités que nous allons décrire :
-* le SN 13 résiste d’autant mieux à la traction que :
-** le tendon est de gros diamètre,
-** le tendon est cylindrique,
-** la prise de l’ardillon se fait sur une jonction musculo-tendineuse.
-* la mise en tension entraîne :
-** une tassement / dérapage de l’ordre de 5 millimètres par kilogramme de tension sur le SN 13,
-** un redressement de l’ardillon en « Y » qui tend à se placer perpendiculairement à l’axe de tension ( axe de traction)
-* [rouge]la rupture de la préparation s’obtient pour une tension axiale variant entre 2000 et 3000 grammes (1 SN 13 pour 1 tendon). Cette rupture se fait par déchirure longitudinale du tendon[/rouge]